#je vous avoue que j'ai un peu la rage de voir ca
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femrobespierre · 8 months ago
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Sondage France info : 65% des sympathisants socialistes voteraient pour un insoumis investi par le front populaire VS 92% d'insoumis voteront pour le NFP si le candidat est socialiste
Je ne peux qu'en déduire qu'il y a une grosse minorité de socialistes qui ne sont pas sérieux sur leur antifascisme franchement ça me dégoûte
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gwardensblog · 3 years ago
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🍵🗒️ 𖥦 [𝐆𝐫𝐞𝐞𝐧𝐲-ᵇˡᵒᵍ].𝖼𖦹𝗆 ִֶָ 𔘓𓂃 ִֶָ
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゚。 。【Thought³】
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˚๑🌨️꒱✦┊ Slice of life stories
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╰┈➤ C'est drôle, hier je disais que je me trouvé jolie même si j'étais fatiguée... Aujourd'hui j'ai l'impression de plus savoir marché convenablement. La fameuse période ou j'ai l'impression d'avoir mis un pied dans un ravin est finalement là.
- : ̗̀➛ Je me sens fatiguée, épuisé, épuisé à tel point ou je pourrais en crever tellement ça me submerge physiquement. Je vous avoue que je me suis un peu précipité pour aller écrire, autant nous avons des moments ou on se sent étranger, autant on se sent spectateur de notre monde.
- : ̗̀➛ On se lève le matin, on déjeune avec lassitude et sans réel envie, on s'habille, on attend que le temps passe, puis on s'en va pour aller en cours. Une triste journée qui fait partie de nos répétitions, de notre quotidien, on s'enferme dedans. Mais en même temps on fait pas de réels efforts pour la changer.
- : ̗̀➛ J'ai mal psychologiquement, j'ai mal physiquement, tout me semble désagréable chez-moi, tout me semble repoussant, énervant.
Ça me donne la rage. J'ai envie de crier, d'hurler, de pleurer.
- : ̗̀➛ "Qu'est-ce qui cloche chez moi ?" C'est cette question que je me pose dans ces périodes là. J'ai une haine incompréhensible qui me prend sans raison particulière. Ça nous prend souvent. On se saccage la peau de nos pouces, de nos doigts, de nos lèvres, on se maudit, on se lessive dans notre tête.
- : ̗̀➛ Mais pourquoi finalement ? On sait pas. C'est comme ça.
- : ̗̀➛ "Oui, je suis toi et tu es moi, tu comprends maintenant ?
Oui, tu es moi et je suis toi, tu devrais comprendre maintenant
Nous avons un seul corps et parfois, nous devons nous affronter
Tu ne seras jamais capable de te séparer de moi, tu sais"
J'admire beaucoup Min Yoongi pour sa façon de retranscrire le combat de tous les jours que nous devons mener. En l'occurrence, cette partie de "Shadow" je la comprends d'une certaine manière.
"Nous avons un seul corps et parfois, nous devons nous affronter", cette phrase est une représentation parfaite de deux êtres qui résides en nous, celle de l'ombre, et nous... Qui essayons de l'étouffer. De la faire taire en silence. De la planter. De l'étouffer elle et son sourire vicieux. C'est elle qui nous cause nos maux et cette "maladie de la vie". On se donne l'impression de l'étouffer, mais en vérité c'est elle qui nous noie, elle nous submerge, elle nous pompe notre énergie comme si elle s'en servait de repas.
- : ̗̀➛ Je la vois bien sourire en même temps, c'est si jouissif pour elle de nous voir souffrir, de perdre le contrôle de tout, de laisser tout fuiter d'un coup, elle nous observe de ses nombreux yeux, elle nous paralyse.
- : ̗̀➛ Elle nous bouffe finalement.
- : ̗̀➛ Elle envahit notre espace de pensé, elle comble trop de partie de notre corps. Elle devient simplement nous finalement. Puis on à l'impression d'être quelqu'un d'autre, de n'être plus totalement nous, puis on se pose des questions : "Qui suis-je ?" "J'agis comme ça de base ?"
- : ̗̀➛ Finalement nous sommes deux dans un seul corps, mais il n'y a pas assez de place pour s'accepter mutuellement, alors l'une vient dévorer l'autre.
- : ̗̀➛ Non. On est pas dépressifs. Pas forcément du moins. On s'ennuie de notre mélancolie, on s'ennuie tout seul. On se bouffe tout seul. Et parfois les larmes ne viennent pas. Ca te pique les yeux cette sensation hein ? Je te comprends. Marcher parfois te demande trop d'énergie, ouvrir tes yeux c'est dur mon cœur. Tu te trouves ennuyante. Pas assez quelque chose, ou trop quelque chose.
- : ̗̀➛ Nous avons tellement trop donné de nous d'un coup, tellement que ça nous a usé émotionnellement.
- : ̗̀➛ On pourrait nous penser suicidaire à penser comme ça. Pourtant... On a pas cette volonté là, au contraire même. Notre rêve le plus chère est souvent celui de fermer les yeux, et de ne plus les ouvrir. Juste dormir éternellement. Et espérer se réveiller sans cette douleur qui nous rend malade de nous, parfois des autres aussi. On les envie par moment. On aimerait tant vivre comme eux, avoir ce fameux, "cœur léger". Le notre est jute trop lourd à porter. Mais...
- : ̗̀➛ Rien n'est mieux parfois.
- : ̗̀➛ On est juste mélancolique de quelque chose. D'un manque. On se sent pas forcément vide. Non. On les ressent ces émotions. On les ressent si fortement, si visiblement intérieurement, qu'on les refoule. On refoule tout ce goût amer dans la bouche et nos entrailles, et on vit avec.
- : ̗̀➛ On s'y habitue finalement. On se noie avec nous même.
- : ̗̀➛ Je trouve ça beau quelque part.
- : ̗̀➛ On s'attarde sur des choses que les autres ne font pas.
- : ̗̀➛ Cette douleur mon ange.
- : ̗̀➛ Elle est belle non ?
- : ̗̀➛ Ça rend parfois les choses plus belles.
- : ̗̀➛ Elle te détruit. Mais te colore de réalité. Elle te bouffe. Mais tu connais. Tu connais plus que les autres ce qu'est que se vautrer dans tout ces escaliers. Et juste en monter une. Tu connais un instant de bonheur : "J'ai réussi." Tu es toujours fière de toi quand ça arrive non ? Moi quand j'ai réussi à manger un repas complet j'étais si contente. Même si ça arrive rarement. Ça faisait du bien. Vivre paye non ?
- : ̗̀➛ Baisse pas les bras. Donne toujours de toi même. Et quand on arrivera tout en haut de ces abominable escaliers, tu iras brandir ton bras haut vers le ciel, et tu diras : "J'ai bouffé la vie."
- : ̗̀➛ C'est toi qui auras raison sur elle.
- : ̗̀➛ Rien n'est terminé.
- : ̗̀➛ Rien n'est fini.
- : ̗̀➛ Tu débutes tout juste.
- : ̗̀➛ C'est loin hein ? Je sais. Je sais. Moi aussi je trime.
- : ̗̀➛ Caresse chacune de tes douleurs, celles qui te marques intérieurement, ou même physiquement, choie les. Ta douleur n'est pas un fardeau mon ange.
- : ̗̀➛ Chérie la ta douleur. Mange la. Nourris en toi.
6:52 PM 2 déc. 2021
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꒰꒰🥛︰୨୧︰𝐆𝐨𝐨𝐝𝐛𝐲𝐞
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pauline-lewis · 4 years ago
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You’re so square, baby I don’t care
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Je ne pense pas être la seule mais en ce moment je me remémore souvent le film Un jour sans fin. Le matin quand je me réveille je pense à Bill Murray frappant son réveil avec son poing (je ne peux pas frapper mon réveil parce qu’il est humain et que je l’apprécie sacrément). Je me rappelle surtout de son attitude à mesure que le film avance. Son air blasé, son impression que plus rien ne le concerne, son envie de tout faire foirer, presque volontairement, pour voir si ça changerait quoi que ce soit. Je ne sais pas si je me suis transformée en Bill Murray dans Un jour sans fin, en tous cas j'ai bien envie de manger des choux à la crème et de parler la bouche pleine. La boucle temporelle est peut-être une métaphore de cette fatigue dont nous parlons tous ces temps-ci.
AH d'ailleurs en parlant de journées qui se suivent et se ressemblent, Amazon va mettre en ligne le 12 février Palm Springs, une excellente variation sur le thème de la boucle temporelle. J'avais écrit cet article dessus en rentrant de Normandie cet été !
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Je m'inquiète de deux choses en ce moment : la rage dans laquelle me plonge ce fil DMC qui n'arrive pas et m’empêche de boucher un trou dans mon canevas et mon implication dans les storylines de Sex in the City. Appelez-ça le syndrome de Stockholm si vous le voulez, en tous cas je commence à parler à ces personnages auxquels je ne m’identifie pas une seule seconde comme si j'étais l'une d'entre elles. "Mais enfin Carrie, c'est terrible de se faire larguer par post-it, ça mérite une nouvelle paire de Manolo Blahnik, you do you girl !" J'ai même versé une larme quand le personnage qui m'est le plus antipathique (Charlotte) a été demandée en mariage. "Oui Charlotte, dis-lui que c'est dégoûtant de poser ses testicules sur le canapé blanc tout neuf." Parfois, entre deux points de canevas, je marmonne entre mes dents "dump him". Le fait est que le plus féministe dans Sex and the City c'est peut-être le fait que tous les hommes sont absolument insupportables.
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Je ne sais pas si vous avez des remèdes particuliers pour chaque chose. L'un de mes remèdes au lundi matin c'est Buddy Holly. Je brise le cycle infernal des journées qui se ressemblent en écoutant "You're so square (Baby, I Don't Care)". Ça aurait probablement été l'hymne imaginaire de mon alter-ego de Sex and the City. 
Anyway.
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Chaînes conjugales (Joseph L. Mankiewicz, 1949) et Autopsie d’un meurtre (Otto Preminger, 1959)
J’ai vraiment un faible pour le cinéma américain des années 40-50. Quand j’étais enfant, je râlais sur mes parents quand nous regardions un “film en noir et blanc”, rien ne me barbait plus, et voilà où nous en sommes aujourd’hui. Après écrit quelques mots sur Thelma Ritter sur Instagram, Mme Pastel m’a conseillé le film de Mankiewicz Chaînes conjugales dans lequel l’actrice est particulièrement brillante. Et je suis ravie d’avoir suivi ce conseil parce que j’ai beaucoup aimé ce film dans lequel une femme particulièrement appréciée des hommes qui l’entourent envoie une lettre à trois amies pour leur dire : je suis partie avec l’un de vos maris.
Si je le mets en lien avec Autopsie d’un meurtre d’Otto Preminger, qui raconte le procès d’un homme condamné pour avoir tué l’homme qui a violé sa femme, c’est que les deux films m’ont tous les deux intéressés pour ce qu'ils disent de la domination masculine.
Chaînes conjugales décortique trois relations hétérosexuelles dans lesquelles les femmes semblent toutes avoir quelque chose qui dérange leur mari : la première se trouve trop “provinciale”, la seconde aime beaucoup trop son travail et y passe trop de temps selon son conjoint (elle écrit pour la radio) et la troisième est écrasée par le mépris de classe de son atroce époux. Sans vouloir spoiler, il semble que la fin du film leur donne raison puisqu’elles font toutes un pas vers leur mari et abandonnent toutes un peu de leur identité au passage. En cela, le scénario tend vers un message conservateur. Mais dans la manière dont le film est fait (notamment ces échos sonores assez expérimentaux qui hantent les femmes et semblent leur montrer leur malheur profond), on peut aussi le voir comme une remise en question profonde des attentes de ces hommes. Pourquoi veulent-ils tous les trois une femme qui n’est pas la leur ? Dans toutes ces séquences, ce qui me sautait aux yeux c’était bien leurs manquements à eux. Eux qui n’arrivent pas à rassurer leur partenaire, à lui donner la place pour qu’elle puisse écrire, à la laisser vivre, tout simplement. Ils courent tous après cette femme imaginaire, qui n’a de vertu que celle-ci : de ne pas être là. D’ailleurs, elle sera hors champ pendant tout le film. Sa photo sera cachée habillement, on ne l’entendra que par une voix off évasive.
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Autopsie d’un meurtre est l’un des rares films que j’ai pu voir qui aborde le viol aussi frontalement. Et c’est assez perturbant de le voir aujourd’hui puisque pendant tout le procès tous les protagonistes remettent en question le caractère de la victime en décortiquant ses mœurs, ses tenues, ses habitudes, ses cheveux, sa manière de s’exprimer... Le seul enjeu est bien l’offense qu’a subi le mari (lui-même violent) en voyant le corps de sa femme lui échapper. Le fait qu’elle ait subi un trauma est rapidement mis de côté voire jamais abordé. Certaines scènes m’ont vraiment frappée, comme ce moment où le juge prend les avocats (tous des hommes, donc) à part pour trouver un mot approprié et décent pour dire “culotte”, tels quatre hommes blancs invités sur un plateau pour parler de PMA. Ils ont peur que tout le monde ricane dans l’audience. L’un d’entre eux avoue n’avoir jamais entendu sa femme appeler ses sous-vêtements autrement. Quatre hommes qui discutent du corps d’une femme sans lui demander son avis, voilà qui a encore des échos douloureux aujourd’hui.
Je ne suis pas forcément férue des films de procès mais celui-là m’a captivée, les acteurs·trices sont incroyables, il y a un chien acrobate, une musique de Duke Ellington et James Stewart en avocat de peu d’ambition. (j’ai vraiment une passion pour ces personnages un peu détachés, on se demande bien pourquoi) Et puis j’adore James Stewart, tout simplement.
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Intimations de Zadie Smith et On Connection de Kae Tempest
La pandémie m’a travaillée plus que d’habitude depuis début janvier. Parfois je me dis que la raison principale est que j’ai perdu mon chat qui était l’une de mes connections qui m’ancrait un peu au quotidien. L’ancrage est l’une des thématiques abordées dans l’essai de Kae Tempest
On Connection.
Je l’ai déjà dit ça et là mais cet ouvrage (qui va paraître en français aux éditions de l’Olivier en avril, traduction de Madeleine Nasalik) m’a vraiment émue et fait du bien, et franchement que demande-t-on de plus en ce moment. Kae Tempest parle notamment d’un sujet qui m’obsède : comment séparer sa production de son envie de la partager, de capitaliser dessus... Il y a une vraie difficulté, dans le monde dans lequel on vit, de penser en profondeur et pas en termes de rendement.
The focus on what I can succdessfully generate, on what I can monetize, on what I can contribute, is a systemic imprint that enforces a production/consumption mentality and keeps me in the thrall of needing to work to consume to value myself. If I can produce goods or services that can be exploited to maximise profit, I am valuable. If I can’t produce goods or services that can be exploited for profit, I remain un-valuable.
Kae Tempest écrit chaque essai en replaçant d’où iel parle, en replaçant ses privilèges et ses zones d’ombre. C’est une écriture très honnête, qui est aussi une ode à la créativité, à faire sans forcément viser de but, et surtout à se connecter les un·es aux autres (pareillement, sans penser à ce que cela peut nous apporter). Quand je me surprends à une aigreur toute pandémique, je repense à ses mots.
Zadie Smith, elle, réfléchit aussi à notre contexte du Covid avec des essais très ancrés dans la situation et le présent, où elle est comme toujours très drôle et intelligente, pleine d’une auto-dérision qui fait beaucoup de bien. Elle participe à faire descendre l’Écrivain·e de son piédestal et c’est très plaisant et agréable. Elle raconte ce que cela fait de travailler, d’un coup, avec sa famille présente, d’assumer ce quotidien. Les jours qui se ressemblent. Et puis elle sait donner vie à n’importe quelle scène, que ce soit aux femmes qui regardent les bouquets de fleurs dans les rues new-yorkaises ou à son masseur avec qui elle échange des banalités. Le dernier essai est particulièrement difficile et triste donc je ne dirais pas que c’est une lecture tout-terrain en ces temps moroses. Personnellement cela m’a fait du bien d’avoir cette petite fenêtre sur son esprit brillant.
Sinon j’ai fait une petite playlist pour la géniale Radio Tempête, elle sera rediffusée samedi matin et sinon elle est dispo sur Spotify si ça vous dit !
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